En silence
L'usure de l'absence,
L'éternité de l'attente
Pour l'espoir de quelques mots,
Simples en présence.
Si précieuse richesse
Que d'exister encore
Pour ranimer le coeur,
Réchauffer mon corps transi,
Glacé si loin de toi.
Et déjà me manquent
Les courts moments
Des baisers timides,
Des tendres étreintes,
Des Yeux qui s'enflamment
Pour des mots cachés
Entre nos mains serrées
A ne plus se lâcher.
Trop courts instants,
Si longs silences.
Je lutte encore.
L'éternité de l'attente
Pour l'espoir de quelques mots,
Simples en présence.
Si précieuse richesse
Que d'exister encore
Pour ranimer le coeur,
Réchauffer mon corps transi,
Glacé si loin de toi.
Et déjà me manquent
Les courts moments
Des baisers timides,
Des tendres étreintes,
Des Yeux qui s'enflamment
Pour des mots cachés
Entre nos mains serrées
A ne plus se lâcher.
Trop courts instants,
Si longs silences.
Je lutte encore.
Tempête
En chaque jour qui passe vide
Je barre, dérive sur l’océan
Agrippé à ses flots tempétueux.
Trempé d’effroi aux nuits glacées
Je m’accroche à déchirures.
Des soleils fourbes aux pluies d’orages
A trop user pour rester debout,
De toute la force d’une promesse.
Que l’océan si vaste soit il
Finit toujours par un rivage.
Tonnerre lourd et sombres nuages
Je me cramponne à mes espoirs.
L’orage est là. Tout s’agite. Sois fort.
Folie, je tangue en tous les sens.
Un contre temps à savoir où je vais.
Au matin, tu verras sur le rocher
L’ombre fatiguée mais patiente.
Ignore le périple infernal
A souffrir autant que d’absence
Et souris moi à pleines mains.
Le vrai voyage commence ici.
Où commence le voyage,
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